Un Français battu à mort
Un Français battu à mort en détention en Egypte
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Publié le 18/09/2013 à 09:43
Arrêté la semaine du 9 septembre pour avoir violé le couvre-feu entré en vigueur, un ressortissant français est décédé sous les coups de ses compagnons de cellule. Paris exige des explications.
Un ressortissant français est mort dans une cellule égyptienne, tabassé par ses codétenus. Ivre, l'homme a été arrêté par la police dans le quartier bourgeois de Zamalek, au Caire, la semaine du 9 septembre pour avoir violé le couvre-feu nocturne entré en vigueur en Égypte depuis l'instauration de l'état d'urgence à la mi-août.
N'ayant pas de visa de résidence valide, l'homme est emmené devant les tribunaux qui décident alors de l'expulser. Selon le Quai d'Orsay, il vivait en Égypte depuis moins d'une dizaine d'années. La victime est présentée par les services de sécurité égyptiens comme étant un professeur. Toutefois, selon plusieurs sources au sein de la communauté française au Caire, cet homme n'enseignerait dans aucun établissement français en Egypte, il est décrit comme marginal et serait âgé d'une cinquantaine d'années.
«Il ne se sentait pas en danger»
En attendant son expulsion, le ressortissant français est conduit en détention au commissariat de Qasr el-Nil, dans le centre de la capitale. «Dans le cadre de la protection consulaire, des membres du consulat français en Egypte l'ont rencontré peu après son incarcération pour voir entre autres s'il n'avait pas de problème en détention, explique le Quai d'Orsay. Il paraissait aller bien, il ne se sentait pas en danger.»
Mais, le 13 septembre, une dispute éclate dans sa cellule. Selon une source judiciaire, «il y eu une bagarre entre lui et six autres détenus quand il a voulu allumer la lumière alors qu'ils voulaient dormir. Ils l'ont attaqué et il est mort d'une hémorragie cérébrale».
Une enquête a été ouverte et les six codétenus sont actuellement interrogés et accusés de «coups et blessures ayant entraîné la mort». Le ministère français des Affaires étrangères et la famille du défunt qui vit en France, attendent toujours des explications de la part des autorités égyptiennes sur les circonstances de ce décès.
http://www.lefigaro.fr
Le parasite de l'info
Le Pen veut tuer l'UMP
Reportages de l'émission du lundi 16 septembre 2013
Alors que Marine Le Pen a fait sa rentrée ce week-end, en concluant l'université d'été de son parti par un discours offensif à six mois des municipales, le revirement de François Fillon sur la stratégie à adopter vis-à-vis du FN agite toujours la classe politique, à droite mais aussi à gauche.
C dans l'air
l’État ne peut pas tout
13 octobre 2013
Après Brignoles : l’espoir
Les leçons d’un échec
Comme l’avaient très bien compris les dirigeants socialistes en 2012, qui tiraient la leçon de l’échec de Lionel Jospin au premier tour de l’élection présidentielle, il n’était dû qu’à une mauvaise communication : les Français, eux, n’avaient pas compris tout le bien que leur avaient apporté les privatisations à tout va, par exemple ; ni que « l’État ne peut pas tout ».
C’est pourquoi il est grand temps de réagir, afin de ne pas voir se répéter les mêmes erreurs des uns et des autres.
Ces quelques lignes se font fort de démontrer sur deux exemples simples comment il faut décrypter de manière positive l’action des socialistes et des verts au pouvoir, sur le plan économique d’abord et, en conclusion, de quelles armes démocratiques ils entendent pouvoir disposer à l’avenir.
Une politique résolument tournée vers l’écologie
Il y a une autre voie que la décroissance écologique ; c’est celle que François Hollande et Jean-Marc Ayrault ont choisie : réduire de façon drastique la consommation populaire.
Moins de consommation, donc moins de pollution à la production destinée à la consommation immédiate, et éradication du problème causé par la surabondance des déchets polluants.
Sans compter sur la campagne pour le tri citoyen de récupération des ordures ménagères dans les poubelles.
C’est la politique désignée par les conseils restreints de la Présidence comme celle de la politique du cran à la ceinture verte. Pour les initiés : le CCV.
Une politique qui va effectivement demander beaucoup de cran.
Une politique résolument orientée vers la jeunesse
Il y a aussi le "travailler le plus longtemps possible pour vivre le moins longtemps possible" :
- Les familles dont les vieux auront débarrassé le plancher dans des délais qui seront fixés par des cabinets d’experts parfaitement indépendants et collaborant étroitement avec le gouvernement se verront décerner la distinction du crêpe noir, sorte de médaille du travail posthume, ouvrant droit pour les descendants à des périodes d’activité prolongées.
En application du vieux principe républicain : travailler plus pour gagner plus.
Une politique cohérente
Les deux volets de l’action gouvernementale sont parfaitement articulés autour de l’objectif : que tous soient ramenés à l’espérance de vie des catégories de travailleurs les plus exposés.
Afin d’arriver par ce biais à plus de justice sociale à l’horizon 2025 sur lequel chacun, dans la majorité, doit avoir les yeux fixés.
Ainsi que sur le remboursement régulier des intérêts de la dette.
En effet, en cotisant plus longtemps pour vivre moins longtemps la question de l’équilibre du régime des retraites ne sera plus qu’un mauvais souvenir.
Des mesures complémentaires sont d’ailleurs à l’étude
Une voie à explorer serait même d’envisager à cette fin de demander aux familles des défunts au titre d’une contribution à la vie active ( CVA ), de cotiser jusqu’à l’âge ou l’ayant droit aurait lui-même cotisé si son trépas n’était pas venu interrompre trop tôt sa participation à l’effort collectif.
De même, le problème du déficit de la Sécurité sociale se trouvera enfin résolu dans le même mouvement par la diminution considérable de la population âgée qui encore à ce jour est une charge qui pèse lourdement.
"Moins de vieux, c’est plus mieux."
Tel est le mot d’ordre qui circule de bouche à oreille dans les couloirs de l’Assemblée. Majorité et opposition confondues, dans un beau pacte d’union nationale.
D’autant que, pour les socialistes, en rajeunissant ainsi la population les lois sociétales audacieuses et avancées en préparation seront mieux comprises.
Il est d’ailleurs question de privatiser les hôpitaux encore publics à ce jour, ou alors d’en conserver les structures mais en confiant à des cliniques privées la sous-traitance des actes, comme cela se fait déjà dans la plupart des services publics.
La démocratie est gagnante
Sur le plan proprement politique enfin, une loi électorale est actuellement à l’étude, qui viserait à donner une interprétation démocratique aux votes blancs, nuls ou des abstentions.
S’il est actuellement trop tôt pour décrire la teneur de cette réforme électorale de grande ampleur, voici cependant ce que l’on croit savoir.
Elle a pour but de ne pas considérer cette partie du corps électoral comme exclue de la vie politique d’une part.
Et de considérer que sa non expression constitue implicitement un désaveu du vote pour le FN.
La manière de les comptabiliser serait à l’étude, courbe de Gauss (pour les cloches), loi de Poisson (pour les pêcheurs à la ligne) et variable stochastique (pour les sauteurs à l’élastique) à l’appui.
http://www.legrandsoir.info
Encore de l'histoire : André Le Nôtre
André Le Nôtre en perspectives
André Le Nôtre en perspectives. 1613 - 2013
Avec l'exposition André Le Nôtre en perspectives. 1613 - 2013, du 22 octobre au 23 février 2014, le château de Versailles vous propose de découvrir tous les secrets du plus célèbre des jardiniers. Cette exposition est organisée à l'occasion du 400e anniversaire de la naissance de Le Nôtre.
Informations pratiques
L'exposition se tient dans les salles d'Afrique du Château.
Du 22 octobre 2013 au 23 février 2014. Tous les jours sauf le lundi, de 9h à 17h30 (dernière admission à 16h45).
Dictionnaire amoureux du Diable
Dictionnaire amoureux du Diable [Broché]
Alain Rey (Auteur)
Description de l'ouvrage
Date de publication: 17 octobre 2013 | Série: Dictionnaire amoureux
Après plusieurs millénaires d'esprits malfaisants, de démons tourmenteurs, le christianisme a inventé le Diable, héritier du Serpent et des Satans de la Bible. Le diable a droit à notre reconnaissance, car il prend à sa charge le Mal dans la vie et dans l'histoire, qui est l'oeuvre de la diabolique espèce humaine. Les démons et le diable n'ont pas cessé de nous hanter. On y croit ou pas, mais ce rusé se sert même de l'incroyance, affirmant, avec Dostoïevsky et Baudelaire, qu'il est plus fort encore s'il n'existe pas. Entre superstition, religion et réalité, il joue tous les rôles: bourreau, victime fantasme, tentation, péché, plaisir, malheur. On le décrit, on l'évoque, on le représente, on le fait parler et chanter. Ecrivains, poètes, peintres, musiciens, si l'on doute de lui, le font exister.. Avec Dieu pour complice, l'Enfer pour royaume, il se manifeste dans la vie, dans l'Histoire, dans la culture. On le traque et on le célèbre à la fois en chassant les sorcières et en diabolisant ce que l'on craint ; d'autres l'adorent. Aujourd'hui,on le combat, on l'exorcise ou on l'adore. Des catholiques les plus conservateurs aux satanistes, on y croit dur comme fer, et lorsqu'on doute, les maléfices humains appellent sa vraisemblance. De A jusqu'à Z, ce sont des univers culturels fascinants que l'Esprit du Mal anime.
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Moi, Malala, je lutte pour l'éducation et je
Moi, Malala, je lutte pour l'éducation et je résiste aux talibans [Broché]
Auteur : Malala Yousafzai
Description de l'ouvrage
Date de publication: 9 octobre 2013 | Série: Biographies, Autobiographie
Je viens d’un pays qui est né à minuit. Quand j’ai failli mourir, il était juste midi passé.
Lorsque les talibans ont pris le contrôle de la vallée du Swat, au Pakistan, une toute jeune fille a élevé la voix. Refusant l’ignorance à laquelle la condamnait le fanatisme, Malala Yousafzai résolut de se battrre pour continuer d’aller à l’école. Son courage faillit lui coûter la vie. Le 9 octobre 2012, alors qu’elle n’avait que quinze ans, elle fut grièvement blessée par un taliban dans un car scolaire. Cet attentat censé la faire taire n’a que renforcé sa conviction dans son combat, entamé dans sa vallée natale pour la conduire jusque dans l’enceinte des Nations unies. À seize ans à peine, Malala Yousafzai est la nouvelle incarnation mondiale de la protestation pacifique et la plus jeune candidate de l’histoire au prix Nobel de la paix.
Moi, Malala est le récit bouleversant d’une famille exilée à cause du terrorisme ; d’un père qui envers et contre tout a fondé des écoles ; de parents courageux qui, dans une société où les garçons sont rois, ont manifesté un amour immense à leur fille et l’ont encouragée à s’instruire, à écrire, à dénoncer l’insoutenable et à exiger, pour toutes et tous, l’accès au savoir.
Chimène Badi s’engagent contre le harcèlement
29-11-13DÉCOUVREZ LES COULISSES DU TOURNAGE DE LA CAMPAGNE
Chimène Badi et Christophe Lemaitre s’engagent contre le harcèlement. Découvrez les coulisses du tournage des films de sensibilisation diffusés les chaînes du groupe France Télévisions et sur le site agircontreleharcèlementalecole.gouv.fr
Consulter les coulisses du tournage de la campagne